Ecuries de Favreuse 

(Extraits choisis)

« Dans les années 60, nous avons aussi cultivé des petits pois pendant une dizaine d’années, comme Robert Rousseau, cultivateur à Saclay. Ils étaient fauchés l’après-midi, puis ramassés très tôt le matin et passés dans la foulée dans une batteuse, car les dernières caisses devaient arriver avant midi à la conserverie de Monthléry. Il ne fallait pas traîner !

                  Photo fonds famille Nicolardot                               Le gros problème avec les petits pois et autres cultures comme le colza ou le blé versé était les pigeons, un phénomène loin d’être nouveau : on en parlait déjà en 1800. Mon mari passait toujours une partie de sa journée à les faire partir et à les effaroucher, voire à les tuer. Il a testé de nombreuses méthodes, des « tonnfort » par exemple, un nom qui disait bien l’effet produit… sur nous en tout cas ! »

Marie-Thérèse Nicolardot 

 

« J’ai continué l’activité « pension de chevaux » avec une quinzaine de boxes et 25 hectares de prés : 9 appartenant à la famille et 16 à l’AEV. Le savoir-faire s’est transmis du père à la fille. J’ai pu héberger jusqu’à 50 animaux : chevaux à la retraite, chevaux de loisirs et de sport. Aujourd’hui, j’accueille 30 chevaux et leurs propriétaires ou cavaliers.

C’est une activité variée et très prenante, qui consiste autant à soigner les animaux qu’à recevoir du public. Mes portes sont ouvertes jusqu’à 15 h par jour, 7 jours sur 7. Parfois même, si un cheval est malade, ce peut être 24h sur 24. »

Elisabeth Nicolardot

 

(« D’une ferme céréalière à une pension pour chevaux »)

 

Et si cet extrait vous a intéressé(e)... 

le texte intégral des Ecuries de Favreuses est dans le livre Terres Précieuses (points de vente-commandes en ligne ici)